éa 02 - Constaté ce matin combien un blog écrit à la va-vite peut être une triste chose. Blesser - sans que vous en ayez même l'ombre de l'attention - quelqu'un pour qui vous avez de la tendresse, de l'affection, que vous considérez comme un membre de votre famille de cœur... Cela bien sûr est affligeant et vous meurtrit en retour d'autant que relisant les choses écrites et sachant dans quel esprit vous l'aviez fait vous n'y voyez pas le réel motif de blessure. Mais celui qui lit n'est pas dans la tête de celui qui écrit... Je devrais sans doute le savoir. Quoi qu'il en soit, je suis assez mal avec moi-même ce soir et je n'ai guère besoin de cela en ce moment. Une ponctuation, un espace, un retour à la ligne font toute la différence... Donc que faire ? Alors même que j'ai de moins en moins de temps et que cette espace n'est rien de plus que ce qu'il est et encore.
Je suis pour le moins perdu et cela arrive dans un moment plus que questionné pour moi .
Très fatigué et plein de questions sur la poursuite de mes plus que modestes activités personnelles. Si elles doivent ajouter du "mal être" à la pression à quoi bon.
Mon ami Roland Nadaus a les honneurs (amplement mérités) de la revue Poésie s/Seine. Il y est de surcroît bien entouré, d'un poète de 7 ans et de deux poètes (entre autres) qui viennent d'avoir un titre récemment paru dans une collection de référence depuis 50 ans. "Les mots étaient des loups" de VKG un choc pour moi !
Daniel me demande quand il me voit à Bucarest... Quelques poèmes inédits sont déjà parus. Il me prie également de lui préparer un dossier pour les mois à venir. Plus qu'à m'y mettre. Courriel de Luis Benitez, heureux d'échanger quelques mots avec lui Le Havre-Buenos Aires via la poésie, voyage rapide !03 - Il y a dix ans, jour pour jour mourrait Marguerite Duras.
Appel de Georges Cathalo nous parlons de la manifestation de avril. Nous plaisantons comme à notre ordinaire et cela fait du bien. Rassérène !
Mars 1916, dans une tranchée Guillaume est blessé d'un éclat d'obus à la tempe alors qu'il lit le Mercure de France Pensées pour lui.
Aujourd'hui Olivier Barde-Cabuçon sort une nouvelle enquête du commissaire aux morts étranges. Une nouvelle en 2016 : Walter Egön Question : y en aura-t-il une deuxième puis une autre ? La réponse est "oui ! et j'en heureux je viens de finir Les amandes.Vers 16h00 Je remonte vers la gare Saint Jean où je dois retrouver le frangin après son travail. Nous nous rejoignons dans un piano-bar en face la gare entre hôtel Regina et celui du Québec puis Gabriel me ramène au Village où je dormirai. Appelle Jean Chatard pour des modifications de mise en pages sur Choisir l'été il me dit qu'il fait ça "dès demain" que j'aurais ça à mon retour. Soirée sympathique avec Gabriel et Christine et leurs amis. Seul bémol je ne suis pas un convive très résistant et le lit me tarde vers une heure du matin (je suis réveillé depuis la veille 1 heure).
14 - Chemin du retour. Arrivée à Montparnasse appelle Claire Lajus, elle est avec Özdemir Ince et son épouse avant son intervention à l'Idalco (je l’espérai bien!) Nous parlons longuement il est très heureux du livre et cela me rend moi aussi heureux. Il me repasse Claire (c'est la première fois que je la tutoie). Jean a tenu parole je trouve tout ce qu'il me faut en arrivant dans ma boite aux lettres. S'y trouve aussi le dernier numéro de Décharge avec un bel article sur le livre d'Özdemir. Sur mon ordinateur, par contre, le rapport de Juliette à corriger. Pas de temps à perdre ! Heureusement demain la réalité ne me rattrapera qu'à 12h54.
15 - Corrections 1 - du rapport de J. peu de choses en fait. 2 - du fichier de Choisir l'été avant l'envoi à l'imprimeur. (11h00) la société S. le camion de livraison ne sera pas là à l'heure. Il est convenu que le chauffeur mette la palette dans le garage.
(19h30) au retour du boulot je trouve comme convenu la palette avec dessus les cartons renfermant les exemplaires du n°30 de A L'INDEX . Maintenant, ah nous les petits envois !; Enfin je ne résiste pas à cette photo de Nanou avec ces petites filles. Si loin du livre et pourtant pas.16 - Des livres à la revue il n'y a guère plus qu'un alphabet et le 30ème numéro de
| Jean-Michel Marchetti , Michel Butor et Roland Chopard |
17 - Cet après-midi conversation avec Venus Ghoury-Ghata au sujet du livre d'Özdemir Ince. Nouvelles des amis aussi que l'on retrouve en bonne compagnie sur un cliché;
19 - Réception au courrier des épreuves de Choisir l'été. Je les corrige et les mets sous enveloppe pour Jean. Cela partira lundi ! Envoi des premiers exemplaires de A L'Index malheureusement je ne puis envoyer tout en même temps, patience donc chacun de ceux qui le doit le recevra. Incidemment je m'aperçois que tout cela me prend de plus en plus de temps presque un second boulot (sans rémunération) le rythme des publications ayant augmenté sans que j'y prenne garde. Il va me falloir ralentir la cadence. Michel Lamart m'annonce un article à paraître dans la revue Brèves concernant La Douceur du Sang cela me touche car j'aime ce titre. Pas fais signe à Roberto concernant l'envoi de Miguel Casado. Il me faut aussi achever le De Luca, six vers résistent !
25-28 Rennes. 80 ans de JB qui ne s'attendait pas à nous voir débarquer.
27 - Passage chez Jean-Claude et Gisèle. Le livre est quasiment à retirer. "Il n'y a pas un jour sans que quelqu'un appelle..." me dit Jean-Claude.
28 - Lord Jim est mort vive Harrisson
29 - Rencontre sympa avec des lecteurs à la bibliothèque de Gonfreville-l'Orcher. Y retrouve avec un grand plaisir C. Que je n'avais pas revue depuis près de 10 ans.
27 - Passage chez Jean-Claude et Gisèle. Le livre est quasiment à retirer. "Il n'y a pas un jour sans que quelqu'un appelle..." me dit Jean-Claude.
28 - Lord Jim est mort vive Harrisson
29 - Rencontre sympa avec des lecteurs à la bibliothèque de Gonfreville-l'Orcher. Y retrouve avec un grand plaisir C. Que je n'avais pas revue depuis près de 10 ans.

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