mercredi 8 mars 2017

Nouvelles de Mars 2017

02 – Corrections pour J. Lis Chroniques de la guerre d'Espagne de Miguel Hernandez
03 – H. Rentre. Nous partons pour Rennes après le boulot. Idiotie ! Crevé. Pendant le week-end, apprends la mort de Jch. Averty. Mort aussi d'une certaine télévision, celle qui avait de l'ambition.
06 – Ce matin, Collège. J'y rencontre par hasard, je ne savais pas qu'il y enseignait, Luc. Depuis combien d'années ne nous étions-nous pas croisés ? 20 ans peut-être. "Alors tu continues" me dit-il d'où je déduis, à tort peut-être que lui non. Qui de nous deux à raison ? Furetant dans mes bibliothèques, retrouve Méthamorphose du grand corps noir long poème en tirage limité accompagné de dessins de JL Millet. Je constate que finalement je ne me suis jamais occupé de moi. Ces textes – celui-là et d'autres (à tirage limité, livres d'artiste) ne figurant dans aucune de mes bibliographies. Décidément, je ne suis pas un "propagandiste" de la poésie pour ce qui me concerne en tout cas.
Donné à la lecture L'illusion du père avec un petit espoir. J'aime cette longue nouvelle sur le trompe-l'oeil de l'écriture, la relation de celui qui écrit (l'auteur) et celui "qui est écrit, décrit" le personnage. Les deux n'étant bien souvent que le résultat, la résultante d'une conivence.
07 – Appelle JCB au sujet de La Grande Ragale. Ce mettre à la recherche d'un correcteur. JCB me dit que Ph. A des soucis de santé, sérieux. Aux symptômes, on peut effectivement nourrir quelques inquiétudes mais il peut tout aussi bien en aller autrement. Parions sur l'optimisme ! Pour une fois, e concernant, ce ne sera pas coutume. Je lis Inhumaines de Claudel (Philippe). Nouvelles plutôt que roman comme indiqué à tort (selon moi) sur la couverture mais nécessité (marketing) fait loi, sans doute. Brèves, grinçantes ces nouvelles se lisent à la façon dont on boit un agréable vin de terroir ou un appéritif amer dans l'ombre d'une pergola. Bémol concernant la couverture quelque peu "racoleuse" à mon goût, l'écrit se suffisant (ou non) à lui-même. Mais là encore... Sinon tout est au ralenti. Même les quelques textes retenus ici ou là me laissent "froid". Les projets de publications (revue, Tires-langue etc) avancent lentement. Le fait de les avoir accumulés au point de ne plus avoir de marge de manoeuvre me bloque.


Le grand Barnum politique ne sidère ! Commence la lecture de Résumons-nous d'Alexandre Vialatte. Un bol d'air. Nicolas Bouvier aurait 87 ans. Si ses livres avoir de marge de manoeuvre me bloque.
Echange intéressant, hier avec A.C.et JP.
Le grand Barnum politique ne sidère ! Commence la lecture de Résumons-nous d'Alexandre Vialatte. Un bol d'air. 
Nicolas Bouvier aurait 87 ans. Si ses livres nous restent, l'homme me manque.
ML a N. Au téléphone, inquiétée par le cyclone annoncé sur Mada. N. N'est même pas au courant. Elle devrait avoir une réponse dans la semaine concernant son poste au Tchad ... 
Projet de La Grande Ragale abandonné est accord ave Jean-Claude pas le temps matériel de le mener à bien dans les délais. Jean-Claude a d'autres pistes. Je me sens moins coupable. Fatigue, je fais traîner
N. ne partira pas pour le Tchad et ne restera pas à Madagascar
21 – Déjeuner avec Jean-Pierre au Lyonnais. Moment fraternel !
23 – Dîner avec ML au Clos lupin, puis quelques instants sur la plage. Mer haute, personne, falaise éclairée. Magique !
Angel Parra est mort !
24 – Poste les fichiers des deux prochains Tire-langue.
25 – Reçois par la poste le livre d'Hervé qui vient de paraître aux éditions HSE ainsi qu'un recueil de.... poète grec, surréaliste, que je découvre. Du beau boulot !
Foule sur le front de mer. Les restaurants de plage sont installés. Les portes des cabanons sont colorées, c'est la première année. Ballade avec Marie-Laure.
15h Bibliothèque Mimeyer sur écouter Kenneth White parler de Bashô. Nous nous voyons avant la conférence, cela fait combien d'année que je ne suis pas passé à Gwenved. Il me dit que Marie-Claude, souffrante, n'a pas pu l'accompagner et qu'il rentrera dès le film "lancé". Emmanuel le ramène en voiture. Outre ce dernier, que je revois pour la première fois depuis bien des années, sont présents Luis et 20 personnes en tout et pour tout. Entrevois également Yoland S. Qui se reste pas, vient juste en éditeur porter quelques exemplaires de son livre à Luis. Nous évoquons, Emmanuel, Luis et moi, la possibilité de déjeuner ensemble un de ces jours. Voeu pieux sans doute !
26 – Marche dominicale le long de la sente des rivières. Le monde des premiers jours de printemps, tour du plan d'eau et des souvenirs, quand avec les filles, petites, nous y venions. Soleil !
27 – Au courrier une plaquette de Guy Girard : ..... Fin d'après-midi je m'emploie à tailler les haies sur l'arrière de la maison. Plaisir !
Le bureau devient impraticable, il faudrait que je fasse quelque chose, mais quoi ? Me débarrasser de mes livres (d'une grande part) c'est décidément au-dessus de mes forces.

Un essayiste et traducteur italien qui travaille sur l'oeuvre de Jean-Louis me demande de lui faire parvenir un numéro 31 de la revue. 

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